mercredi 5 novembre 2008

J'ai lu : L'étreinte, de Martin Gülich

Dolf ne cesse de le dire : ce n’est pas un idiot. Pourtant, il faut se rendre à l’évidence, c’est cela qui l’isole du monde, et non son odeur, comme il le croit. Dolf travaille en effet à la morgue et ne côtoie pas grand monde, sinon des cadavres. Il ne connaît rien des femmes et n’en a jamais fréquenté, ni même approché aucune, jusqu’au jour où Natalie, qui est venue reconnaître le corps de son ami, se jette dans ses bras, désespérée. Dolf, dont la vie se trouve bouleversée par cette étreinte, va se lancer à sa recherche.


Ce que j’en ai pensé :

J’ai été plongée dans l’univers de ce personnage qui approche parfois la folie mais dont la candeur et la simplicité nous permettent de percevoir les sentiments à l’état brut, sans le voile de la raison. Le récit, captivant du début à la fin, est soutenu par une très belle écriture qui nous ouvre un monde à la fois poétique et inquiétant.

3 commentaires:

Marionette a dit…

putain de boches...^^

Brice a dit…

Décidément, je suis connaud moi: même pas foutu de mettre un commentaire à l'article correspondant... Tout ça pour dire que j'ai trouvé ton article très pertinent sur ce salaud de Chleu, comme dirait Marionette!

ClaireB a dit…

Brice > T'inquiète pas, j'avais vu !