dimanche 20 septembre 2009

J'ai fait du sport ! A la piscine...


Pas besoin de vous faire un dessin, tout le monde y est passé, on sait ce qu'est une piscine. Des images nous reviennent de notre tendre enfance : le bonnet de bain qui arrache les cheveux, le maître-nageur en T-Shirt sur le bord de la piscine, la rangée d'enfants grelottant qui attendent leur tour au plongeoir, la vieille légende selon laquelle il existe un produit dans l'eau qui permettra d'identifier au premier coup d'oeil les indélicats incontinents...


Et pourquoi ça mérite un article sur le blog ?

Parce que je suis en quelque sorte au sport ce que Victoria Sylvstedt est à la culture : comme elle, non seulement je ne me sens pas concernée par le sujet, mais en plus, j'exhibe davantage d'autres atouts, comme mes énormes... capacités intellectuelles. Moi, un DIMANCHE MATIN à la PISCINE est donc un événement plus rare que le passage de la comète de Halley (si ça ne vous dit rien, espèces d'ignares, allez voir ). Alors bon, certes, sur le moment j'aurais préféré manger mes Chocapic devant Melrose Place plutôt qu'affronter l'odeur de chlore et les réprimandes du maître-nageur (parce que forcément, quand la dernière fois qu'on est allé à la piscine, on payait encore l'entrée en francs, on ne se souvient plus que "le bonnet de bain est obligatoire, mademoiselle... C'est la première fois que vous venez ?!"). Mais une fois dedans... ou plutôt, pour être honnête, une fois dehors, quel bonheur, quelle fierté de pouvoir se dire : je l'ai fait !

lundi 24 août 2009

J'ai utilisé : un Lifestyle Notebook



Il s'agit d'un carnet dans lequel vous pouvez consigner vos lectures, lister les livres que vous aimeriez lire, classer vos ouvrages favoris, établir un carnet d'adresses de vos librairies préférées... Il y a même des petites feuilles à détacher, mais j'ai pas encore bien compris pourquoi.

En somme, un outil pour les bibliophiles.


Et elle en dit quoi, la bibliophile ?


J'ai trouvé ce carnet dans un Virgin Megastore au milieu de ses frères et soeurs dédiés à d'autres passions (le cinéma, la cuisine, les voyages...). Bon, il coûte quand même 14,99 €... Heiiin ?! Oui, 14,99 €, mais c'est quand même la super classe, et au final, la super classe, ça n'a pas de prix. Vous vous dites peut-être que c'est un peu cher payé, mais vous rigolerez moins quand je pourrai énumérer chacun des livres que j'ai lus ces 3 derniers mois en citant l'auteur, l'éditeur et l'année de parution. Na.

Regardez-moi ça comme c'est canon (si vous cliquez dessus, ça devient grand) :

samedi 22 août 2009

J'ai lu : Femme de chambre, de Markus Orths


Femme de chambre, obsession du nettoyage, intrusion dans l'intimité des clients, se planque sous le lit, décide de faire ça régulièrement, voit une prostituée, vit sa vie par procuration, fin.


Heu... quoi ?

Ma description est peut-être un peu caricaturale mais je pense qu'elle a le mérite, contrairement à ce chef d'oeuvre de la non-littérature et du récit plat et sans saveur, de ne pas y aller par quatre chemins et de proposer un certain parti pris.

Si malgré cet avertissement implicite, vous souhaitez vous lancer dans la lecture de Femme de chambre, voici quelques mises en garde :
- plusieurs minutes après avoir refermé le livre, ne soyez pas surpris d'entendre la voix monocorde du narrateur vibrer dans le vide que cette lecture aura créé à l'intérieur de vous ; tout comme dans une chanson de Patrick Sébastien ou une réplique de Secret Story, la médiocrité a pour douloureux effet de persister. Nous préconisons la lecture de La Croix ou du Vidal qui vous apaiseront par leur vertus anesthésiantes.
- ne vous attardez pas sur les virgules, leur nombre outrageux révèle de toute évidence un problème avec la touche "point" sur le clavier de l'auteur. Ce problème s'avère d'autant plus terrible que le point final met une éternité à arriver.
- ne jetez pas au feu vos Télérama, Libération et autres Biba, journaux cités pour leurs critiques dithyrambiques en quatrième de couvertures. Faire l'éloge du vide, c'est certes très snob, mais ça fait bien. Que celui qui n'a jamais péché leur jette la première pierre.

Peut-être vous étonnez-vous qu'après une telle critique, je lui accorde un simple "Pas top" et non un "J'aurais dû rester couchée". Mais figurez-vous que grâce à Femme de chambre, le Murakami que j'ai lu derrière m'a paru d'autant plus savoureux...

mercredi 28 janvier 2009

J'ai utilisé : Signal White Now


"Quoi", pensez-vous certainement, "plus de 2 mois d'absence et au retour, on nous parle de dentifrice ???". Oui. Effectivement. Mais le dentifrice est un objet dont on sous-estime le pouvoir. Pour combien d'entre nous son absence chez un interlocuteur peu conscient des limites personnelles a déclenché un dégoût difficile à réprimer ? Combien d'années gâchées par un prof de lettres, certes passionnant, mais à l'hygiène bucco-dentaire plus que douteuse ? Combien parmi nous ont déjà simplement pensé "elle pourrait être canon si elle avait pas les chicots pourris" ? Nous avons tous vécu des situations où l'usage régulier d'un dentifrice adéquat aurait évité bien des déconvenues. Et c'est là qu'intervient Signal White Now.


Signal White Now vous permet d'une part d'avoir l'haleine fraîche (bon, je l'admets, Dentifrix de chez Aldi également) mais surtout, et c'est là le véritable prodige, il vous permet d'avoir les dents "Blanches Maintenant" (c'est ça que ça veut dire, "White Now") (et j'ai fait anglais LV2, hein !).


Et est-ce que j'ai les dents Blanches, Maintenant ?


Tout à fait ! N'est-ce pas épatant ? La pâte est en effet bleue, c'est-à-dire la couleur complémentaire de celle du vilain tartre qui recouvre vos quenottes. Au début, vous avez l'impression que vos dents sont plus ou moins grises, mais que nenni ! Elles rayonnent rapidement d'un blanc immaculé.